La vidéo protection renforce le dispositif de sécurité déjà mis en place
En France, les communes sont protégées quotidiennement par les forces de l'ordre, mais ont tout de même la possibilité de se doter de dispositifs complémentaires, adaptés à leurs besoins et compatibles avec leurs ressources.
C’est pourquoi ATS accompagne les collectivités dans la prévention et la lutte contre les incivilités, la surveillance des endroits sensibles et accidentogènes, en installant des caméras de vidéo-protection.
Les domaines d’application de la vidéo protection dans les espaces publics
Les caméras enregistrent des images 24h/24 et 7j/7 pour garantir une protection ininterrompue du domaine public.
Cela peut concerner :
- La voirie : rue, passage piéton, carrefour, parking…
- Les espaces de loisirs : parc, city stade, terrains de football…
- Les zones marchandes : centre commercial, marchés, halles, marchés couverts…
- Les zones industrielles / artisanales
- Les zones d’habitation
- Les infrastructures de transport : gare routière, gare ferroviaire, pôles d’échanges de bus…
- Les établissements recevant du public : piscine, médiathèque, ludothèque, bibliothèque, écoles, salles des fêtes…
- Les bâtiments administratifs : mairie, hôtel de ville, entrepôt logistique…
- Les déchetteries : lutte contre les dépôts sauvages et départs de feu
Nos diverses caméras sont dotées de technologies permettant de s’adapter à tout type d’implantation, en intérieur ou en extérieur.
Filmer la voie publique : que dit la loi ?
Le nombre de caméras filmant la voie publique a fortement augmenté ces dernières années, notamment pour lutter contre l’insécurité. La loi encadre donc cette pratique en précisant les objectifs et les personnes autorisées à filmer la rue.
Installer des caméras sur la voie publique sert à protéger des lieux particulièrement exposés à des risques d’agression ou d’actes illégaux, comme le vol à l’arrachée, le trafic de stupéfiants… Ces dispositifs peuvent aussi permettre de constater des infractions aux règles de la circulation, notamment grâce à des systèmes de lecture de plaque d’immatriculation.
La loi précise que seules les autorités publiques (les mairies, notamment) peuvent filmer la voie publique. Les caméras ne doivent pas permettre de visualiser l’intérieur des immeubles ni leurs entrées, ou sinon, des procédés de masquage irréversible doivent être mise en œuvre (floutage).
Il est également stipulé que seules les personnes habilitées par l’autorisation préfectorale peuvent consulter les images (par exemple : le référent sécurité de la commune).
Enfin, les usagers doivent être informés, au moyen de panneaux affichés de façon visible, de l’existence du dispositif, de son responsable et des modalités concrètes d’exercice de leur droit d’accès aux enregistrements.